PATRIMOINES CULTURELS
• COMMUNICATION CULTURELLE
La communication culturelle consiste en la numérisation du patrimoine matériel culturel et naturel, à la leur diffusion à travers les médias conventionnels ou non ainsi qu’à l’éducation par les TIC.
A partir de la numérisation, les patrimoines culturel matériel et immatériel sont identifiés et étiquetés. Une bibliothèque numérique est mise en place en vue de sa sécurisation contre le pillage, le vandalisme mais surtout d’en reproduire des modèles en cas d’une dégradation éventuelle. Ainsi l’ONG PCVCDA se donne les moyens pour conquérir tous les territoires africains pour sauvegarder les identités des communautés.
La diffusion est l’un des axes majeurs de l’ONG PCVCDA. Elle vise tout d’abord à faire connaître le potentiel patrimonial des communautés africaines à travers le monde par l’organisation des festivals, des colloques, des ateliers…, par les publications scientifiques grâce à notre revue, par l’usage de TIC. Ensuite, l’ONG PCVCDA encourage la jeunesse africaine au développement de l’industrie culturelle et créative à travers la valorisation numérique. Il s’agit d’accompagner cette jeunesse à la mise en place des plateformes pour aider les communautés à se prendre en charge de façon durable et respectueuse de leur cadre de vie. De cette manière, l’ONG PCVCDA participe clairement à la créativité et à la création des richesses au sein des populations.
•TRESORS HUMAINS VIVANTS (transmission du savoir)
Il faut comprendre par Trésors humains vivants, les hommes et les femmes ayant une très grande connaissance d’un ou de plusieurs savoir-faire culturel ou de leur environnement et grâce à qui la restauration de celui-ci (ou ceux-ci) peut être possible. Ils sont des canaux par lesquels la jeune génération est formée pour la pérennisation des savoir-faire en général. A ce titre, ils bénéficient d’une prise en charge exceptionnelle de la part de l’ONG PCVCDA.
• ALIMENTATION/SANTE
En s’appuyant sur la rubrique Alimentation Santé, l’ONG PCVCDA promeut la protection des semences et la production bio au profit des communautés. Il s’agit de fournir des souches pour garantir la production agricole des populations à faible revenu. En effet, elle favorise la création de pépinières pour certaines cultures, de plantations expérimentales pouvant fournir les boutures ou des rejets pour d’autres. Dans le domaine de l’élevage, l’ONG encourage et soutient les programmes de productions agricoles multiples à partir de ses fermes expérimentales qu’elle développe dans ses centres d’incubation scientifique et technique. Il s’agit de fournir de la protéine animale à partir des animaux domestiques (mouton, porcs, cabri, volailles) mais surtout des animaux sauvages qui suscitent la convoitise des mets locaux (agoutis, hérisson, lapins, perdrix…). De ce qui précède, l’ONG invite ainsi à la production massive des aliments de première nécessité non seulement pour la consommation des communautés locales mais aussi pour desservir les populations des zones arides. Autrement dit, elle prône l’usage des composts et en général des produits bio dans le domaine agricole.
PATRIMOINES NATURELS
•ENVIRONNEMENT
Il s’agit des études d’impact environnemental, du programme de bas carbone, de la sensibilisation, du reboisement et de la dépollution)
La rubrique étude environnemental touche à la fois l’évaluation de la qualité du cadre de vie des communautés ainsi que celle des paysages dans lesquels évoluent ces communautés en lien avec les facteurs des changements globaux (climatiques et/ou anthropiques). Elle permet de prévenir les catastrophes tout en aidant les communautés à la résilience. Elle permet également de définir les indicateurs de performance pour l’amélioration de la qualité environnementale. Elle constitue à cet effet une boussole pour les décideurs dans la planification des activités de développement régional.
Elle permet par ailleurs la protection des sites ayant un intérêt scientifique prouvé pour la formation, le développement de la médecine ou une valeur universelle reconnue de tous pour leur beauté. De ce fait, ce service prend en compte la protection des écosystèmes (forêts savanes, mangroves…..), des paysages, les affleurements …
Le programme de bas carbones s’inscrit d’une part dans la lutte contre la dégradation du couvert végétal surtout d’origine anthropique, la désertification galopante et d’autre part dans la réduction des gaz à effet de serre. Il consiste à cet effet au reboisement, à la promotion des foyers améliorés et des techniques culturales, à la réduction des feux de brousse, au développement des activités écotouristiques et géo-touristiques ou autres comme alternatives de sources de revenu…
•AMENAGEMENT DES TERRITOIRES
l’ONG PCVCDA soutient l’aménagement des territoires pour les rendre attrayant par la construction au profit des communautés des infrastructures de base (hôtel, restaurent, centre artisanaux et artistiques, circuit de randonnée…). Elle aide pour le management touristique, la gestion des activités et études des stratégies touristiques régionales. Avec ce service, l’ONG appuie la création des parcs d’attraction, des musées, des centres artistiques dans toutes les régions d’Afrique. Elle intègre les activités culturelles, et le savoir-faire des communautés dans les parcours touristiques pour aider ces communautés à un épanouissement inclusif. Elle permet le développement de l’industrie touristique par la valorisation et la pérennisation des patrimoines culturels et naturels. Elle favorise l’employabilité des jeunes à travers les activités touristiques génératrices de revenu.
• ECO & GEOTOURISME
A travers le circuit touristiques et de loisir, cette rubrique consiste à définir et proposer des destinations stratégiques répondant aux besoins des touristes à partir des médias conventionnels ou non. A partir de ce programme sera envisagée la création des géoparcs.